dimanche 29 novembre 2015

30 jours !

Bon voilà c'est fait , mon second « record » vient d'être battu : 30 jours sans porno. D'accord ce n'est pas exceptionnel , la route est encore très longue. En fait ce qui me fait peur c'est que j'ai parfaitement conscience qu'une rechute peut arriver d'une seconde à l'autre. La dernière fois ,après 29 jours d'abstinence , les choses se sont passées tellement vite. J'étais revenu dans la maison familial le temps d'un week end , je me suis installé sur mon lit avec mon ordi portable , consulter mes mails , quelques sites d'informations et hop site porno presque de manière machinale.

A partir de là j'aurai pu très vite refermé la fenêtre du site mais j'ai décidé de ne la pas le faire et tout s'est enchaîné. En fait il y a eu plusieurs causes à cette rechute (comme à toutes les rechutes). Déjà ce sentiment de vide absolu. Je pourrai difficilement l'expliquer mais disons que je me sent mort à l'intérieur et que j'ai besoin du porno pour me réveiller. Pas tellement pour me donner du plaisir mais surtout pour me sentir vivant et pour nourrir ce vide en moi. Le plaisir - si on peut réellement appeler ça du plaisir - vient après.

Autre raison , plus triviale cette fois , c'est que pendant cette période d'abstinence , énormément de contenus , sites porno ont été mis à jour. Et oui pendant mes phases de dépendance , j'ai un rituel bien précis : je sais que le Lundi tels sites proposent une nouvelle vidéo , le mardi tel site....etc.
Du coup quand vous arrivez à presque 1 mois sans porno vous vous dites que vous avez dû louper de sacrées vidéos. Je suis plutôt quelqu'un de très exigeant dans ma recherche de la vidéo idéale mais malgré cette exigence je sais qu'après 1 mois j'aurais l'embarras du choix.

D'ailleurs l'une des erreurs que je commets avant chaque rechute , c'est de me dire «  Allez va juste jeter un coup d’œil , voir ce tu as loupé entre temps. Allez ça ne t'engage à rien après tout , juste satisfaire ta curiosité ». Une partie de moi essaye ainsi de m'auto-piéger , de m'inciter à reprendre mes anciennes habitudes. Je dois alors m'auto-convaincre que ce n'est pas une bonne idée , de me rappeler que cette dépendance me fait énormément de mal dans la vie.  La question est alors de savoir qui va l'emporter , la partie « réfléchie » de moi même ou alors mes pulsions ?

Le problème c'est que quand la partie réfléchie l'emporte , ce n'est qu'une bataille qui est remporté et pas la guerre. Alors que quand ce sont les pulsions qui l'emportent , là on peut directement dire que la guerre a été perdue. Alors évidemment si on voit le verre à moitié plein , on peut se dire que la guerre n'est pas totalement perdue , que ce n'est que partie remise , que la prochaine tentative de sevrage sera le bonne.

Être optimiste c'est sympa mais la réalité est tout autre. Quand mes pulsions finissent par l'emporter , la rechute chez moi est très très longue. Après ces fameux 29 jours sans porno , ma rechute a duré presque 4 mois... Et je peux vous dire les premières semaines suivant ma rechute , je battais des records en terme de téléchargements et de visionnage de porno. C'est un peu comme une personne en fort surpoids qui décide de maigrir , fait un régime , perd 3 kilos en 1 mois (ce qui est déjà un bon début) mais reprends 4 kilos sur le second mois. Si on fait un bilan son régime a été contre-productif , non seulement elle n'a pas perdu de poids mais elle a même au final pris 1 kilo de plus.

En ce qui concerne ma dépendance au porno , c'est un peu la même chose. A partir du moment où je rechute , je ne fais pas les choses à moitié , je rentre alors dans une phase de rattrapage. J'essaye de rattraper mon retard en téléchargeant une grande partie des vidéos que je n'ai pas pu voir pendant ma période de sevrage. Une sorte de sentiment d'euphorie vient m'envahir devant tout le contenu qui s'offre à moi. Petit à petit cette euphorie fait place à un certains découragement. En se rendant compte du nombre impressionnant de vidéos qu'on va devoir télécharger et visionner , on se sent comme de nouveau pris au piège. Pris au piège de cette foutue pulsion chronophage et dévastatrice. Et pourtant c'est trop tard , on vient de rechuter. Alors quitte à rechuter , rechutons à fond , quitte à se détruire , détruisons nous à fond.

Rien que d'y penser j'ai une trouille bleue à l'idée de rechuter. Pour le moment je tiens le coup mais jusqu'à quand ?


jeudi 26 novembre 2015

Honte de moi....

Non non , je vous rassure tout de suite je n'ai pas rechuté ! Mon sevrage se poursuit et j’atteins désormais les 27 jours sans porno. Encore quelques jours et je battrai mon second record mais bon je préfère ne pas trop y penser , une rechute peut très vite arriver.

Comme promis à la fin de mon dernier article , je vais vous parler aujourd'hui d'une « expérience » assez honteuse. Cette petite expérience qui n'a duré qu'un quart d'heure est sans doute celle qui démontre le mieux les ravages que le porno a eu sur moi.

Bon tout d'abord remettons les choses dans leur contexte. Je n'ai jamais eu de relation sexuelle. Le porno a toujours été pour moi une sorte de substitut. Mais à force de voir du sexe pendant des heures et des heures , on a clairement envie de reproduire ce qu'on voit au travers de l'écran. Les choses se sont faites petit à petit.

A l'âge de 21 ans j'avais cette frustration de devoir toujours me masturber dans mon coin devant une vidéo porno. C'est con à dire mais j'avais envie d'être touché par une femme. J'ai donc décidé de me rendre dans un salon de massage. L'endroit était clairement haut de gamme (le prix aussi) et l'expérience s'est fort bien passé. Il n'y a pas eu de relation sexuelle (masseuse qui reste habillée) mais simplement (et c'était déjà pas mal) ce que l'on appelle une finition manuelle (en toute fin de massage). Honnêtement rien de vulgaire , la masseuse était douce et fort habile de ses mains. Je suis sorti le sourire aux lèvres.

Le problème est venu en fait deux ans plus tard , à l'âge de 23 ans. Je n'avais toujours pas eu de relations sexuelles et ma consommation de porno avait entre temps fortement augmenté. Il y avait des périodes où le porno me suffisait et des périodes où j'avais envie d'une « interaction » avec une femme. Et le fait d'être encore puceau était vraiment frustrant mais j'étais trop fière (et je le suis toujours) pour me faire dépuceler par une prostituée. Du coup j'ai décidé de faire appel à une escort (mot chic pour dire prostituée) pour une fellation. L'idée était de monter d'un cran par rapport à l 'épisode salon de massage . Rien d'exceptionnel me direz vous .Combien de puceaux ont été voir des prostituées après tout ? Oui sauf à 2 détails près.

Déjà j'avais décidé de filmer « la scène » .Je m'étais donc procurer une clé usb avec caméra cachée achetée sur ebay que j'avais placé de telle sorte que l'escort (venu à mon studio) ne la voit pas. Bon je pense que tout le monde a fait le rapport avec ma dépendance au porno. Pour une fois ce serait moi l'acteur . Il n'était pas question de partager cette vidéo sur le net comme le font certains mais j'avais tout simplement envie d'être à la fois le personnage principal de la vidéo mais aussi celui qui la visionnerai par la suite.

Ensuite autre détail qui a son importance , au début de la rencontre j'ai fait à la prostituée une requête particulière. Je ne vous révélerai pas précisément ma demande (peut être dans un autre article....) mais disons que cette requête ne me mettait pas en valeur , bien au contraire. A force de voir des vidéos pornos , je me suis à petit à petit intéressé à certains fétichismes dans lesquels les femmes humilient les hommes ou se moquent d'eux. 

Au final les choses ne se sont pas passés comme prévus. Elle ne s'est certes pas rendu compte de la caméra cachée (franchement ça aurait été difficile) mais c'est la seule chose qui ait bien fonctionné.D'abord quand je lui ai dit que j'étais encore puceau , elle était très étonné. « Pourquoi ne me la tu pas dit avant , ça ne me dérange pas mais bon ... ». Moi comme un con j'étais tout gêné. Après elle renchérit par une phrase un peu près comme ça «  pourquoi tu ne te trouve pas une petite nana à la fac ou dans une soirée , ça doit bien se trouver , franchement faut faire des efforts.... ». Ensuite , elle commence à me parler de l'appartement dans lequel je vis , du loyer que je paye , des APL … Pas trop gêné la demoiselle mais bon. Je lui propose de boire un verre , elle veut de l'eau. Et juste au moment où je lui apporte le verre , elle reçoit un coup de fil. Tout de suite elle commence à paniquer en me disant de ne surtout pas dire un mot pendant la conversation. Apparemment son copain ne devait pas être au courant des ses activités.

Enfin, et sans transition, elle me demanda de me déshabiller. Bon à ce moment elle me pose la fameuse question « couverte ou non couverte ». Je lui réponds et lui fait part en plus de ma requête particulière. Bon comme je m'y attendais elle est très étonnée. Je pense que personne ne lui avait jamais demandé. Elle me réponds que ça ne la dérange pas elle mais qu'en fait ça que la dérange pour moi. En d'autre mots elle avait un peu pitié de moi et ne souhaitait pas vraiment me faire subir cette petite humiliation. Pour être honnête j'étais rassuré par sa réponse et je lui répondu qu'elle avait sans doute raison et que c'était une mauvaise idée.

La fellation en elle même m'a un peu déçu. D'ailleurs comme un bon addict au porno je n'ai pas réussi à éjaculer , il a fallu que je me masturbe (sous son regard) pour y arriver. Le loser total quoi...Plus sérieusement cette rencontre fût désastreuse , j'ai même finit pas supprimer la vidéo quelques temps plus tard. J'étais tellement honteux dessus, cette vidéo était le symbole même des impacts néfastes qu'avait eu le porno sur moi. Un pauvre type qui avait subit un véritable lavage de cerveau après des milliers d'heures de visionnage de porno. A chaque fois que je la revoyais je me disais « mais comment ai-je pu en arriver là » ?  Et oui ce pauvre gars que je regardais à l'écran : c'était moi ! Pour l'anecdote j'avais mis un mot de passe pour accéder à la vidéo : gogolemental


Alors oui l'escort ne m'a pas du tout mis à l'aise mais une chose est sûr , je la remercie de ne pas avoir accepté ma demande. Déjà que j'étais pitoyable mais si en plus elle avait accepté , je n'imagine même pas. Car c'est bien là le problème , quand on est excité, on commence à faire n'importe quoi , on a plus vraiment de contrôle sur soi. E c'est seulement après que l'excitation soit retombé qu'on se rend compte de la situation. Le fait d'avoir filmer la scène m'a vraiment obligé à voir la réalité en face et cette réalité ne fût pas agréable à regarder.


dimanche 15 novembre 2015

Le porno m'a changé

Dans mes 2 précédents articles , je ne vous ai pas parlé de mon addiction au porno en elle même . Je ne vous ai pas dit comment cette addiction se matérialisait concrètement dans la vie de tous les jours. Combien d'heures par exemple je passais quotidiennement à regarder des scènes x ? 

En fait j'avoue avoir un peu honte d'en parler car quoi que je dise cette addiction m'a gâché la vie et fait perdre énormément de temps. Du temps que je ne retrouverai jamais. Honnêtement je ne pourrais pas dire exactement le nombreux d'heure par jour auquel je me consacre (je ne peux pas encore utiliser le passé) à la pornographie . D'une part parce que c'est assez variable. Parfois je pouvais me contenter d'une demi heure en particulier au début de mon addiction. Et puis d'autres fois (comme ces derniers mois) au moins 4 h dans la journée. 

Plus le temps passe et plus on devient exigeant dans sa recherche et plus le contenu dit de "niche" ,et donc difficile à trouver, nous intéresse. D'ailleurs ces dernières années j'ai passé beaucoup plus de temps à rechercher les vidéos qui m'intéresse (et les télécharger  )qu'à les regarder. On va dire par exemple que je devais passer 1 heure à rechercher le contenu , 30 minutes à 1h pour le télécharger (tout en recherchant d'autres vidéos pendant ce temps)  pour au final 5 à 25 minutes de visionnage . Encore une fois ce n'est qu'un exemple ,il n'y a pas de règles parfois c'est moins parfois c'est plus.

  Je ne rentrerai pas dans les détails du contenu que je visionnais  déjà par pudeur (ce n'est pas le plus dérangeant car je témoigne ici anonymement et puis le contenu que je visionnais n'était pas illégal : jamais de pédopornographie ou de zoophilie ) mais surtout parce que je ne souhaite pas donner de mauvaises idées à des dépendants comme moi qui chercheraient actuellement  à se sevrer. Tout ce que je peux dire c'est qu’énormément de choses qui me dégouttaient au début  sont devenus presque banales pour moi. Je me souviens notamment d'une scène qui m'avait particulièrement choqué à l'âge de 18 ans et que je trouve aujourd'hui presque soft. 


En fait  , à y regarder de plus près le problème du nombre d'heure (irrécupérable!!!!) que j'ai passé à regarder de la pornographie  n'est qu'un problème de second plan. Déjà parce que je suis encore jeune et à 25 ans la vie est encore devant moi. Et puis surtout parce que le vrai problème c'est l'effet qu'a eu  cette consommation sur moi et sur mon comportement.

Particulièrement ma relation avec les autres. Petit à petit je me suis reclus sur moi même. L'exemple qui l'illustre le mieux est ma relation avec les femmes. Certes j'ai toujours été timide avec les filles bien avant ma dépendance mais rien d'insurmontable. La pornographie n'a fait qu'accentuer ce phénomène et je suis rentré dans un cercle vicieux. Plus je consommes du porno , plus j'ai honte de moi (+ déficit de confiance) ce qui me frustre. Et plus je suis frustré , plus je suis incité à regarder du porno , qui va nourrir et entretenir cette frustration. Au fil du temps , j'ai même développé une sorte de dégoût des femmes : je les trouve intéressées , vénales, calculatrices …. Tiens étonnamment ce sont des images des femmes que peuvent entres autres choses véhiculer les films x. Je vous raconterai dans mon prochain article une « anecdote » à ce sujet , une situation pas facile à raconter tant j'ai été pitoyable ce jour là et dégoutté de moi même.

Bon voilà , je crois qu'il est tant de m'arrêter là pour aujourd'hui.

Ps : Mon sevrage suit son cours (16 jours)


vendredi 13 novembre 2015

2 semaines mais que c'est ....



Je n'ai pas attendu de créer ce blog pour tenter de cesser ma dépendance au porno. Disons en qu'en 7 ans j'ai dû faire 5 tentatives vraiment sérieuses. La dernière remonte au mois de Mai où j'ai tenu 29 jours. En fait mon record date d'il y a 5 ans où j'ai tenu presque deux mois il me semble.

 A l'époque je me souviens j'avais tout un système , plutôt ingénieux, avec notamment l'installation d'un logiciel de contrôle parental sur mon propre ordinateur portable. Malheureusement ça n'avait pas marché.En effet quand on est motivé on peut facilement passé outre ce type de logiciel.  J'avais aussi fait une tentative en me séparant de mon ordinateur   mais cette méthode avait beaucoup trop de contraintes (que fait-on sans internet aujourd'hui?) et j'ai dû me  résoudre à l'abandonner. 

S'il y a bien une chose que j'ai appris avec ces expériences , c'est que mon ennemi ce n'est pas le porno mais moi même. C'est comme ci un alcoolique décidait de ne plus aller faire lui même ses courses pour ne pas tomber nez à nez avec une bouteille d'alcool. Certes à court terme ça peut l'aider (en omettant les contraintes que cela impose) mais cette "stratégie de fuite" risque de tomber à plat à moyen/long terme. 

En partant du principe que c'était le porno le problème , j'avais alors trouvé mon coupable idéal, un bon bouc émissaire. Or le coupable idéal n'est pas forcément  le vrai coupable. Mais qui est alors le coupable?  Moi ?
En réalité je ne m'en veux pas vraiment d'être dépendant,  je n'ai pas vraiment l'impression d'être le coupable.

 Dans ma présentation je parlais "d'élément de vie déclencheur" pour comprendre l'apparition de cette addiction. En ce qui me concerne , j'ai perdu ma mère d'un cancer au début de mon adolescence. Une mère avec laquelle j'avais noué une relation fusionnelle.  Vous rajoutez à cela un père plutôt absent et très mauvais dans sa manière de communiquer (comme la plupart des hommes ou est-ce un cliché ?)  et une sœur aîné très  nuisible et vous obtenez un gamin qui avait besoin d'une porte de sortie. Pour moi ça a été le porno ! 

Avec le temps , je me suis posé cette question que tout dépendant s'est sans doute déjà posé: Pourquoi cette addiction et pourquoi pas une autre ?   En fait beaucoup de conditions étaient réuni ; j'étais très timide avec les filles et le porno était donc un moyen de combler une certaine frustration avec les filles (je ferais un article spécifique sur ce sujet). De plus j'habitais un petit village de campagne , assez isolé , du coup j'avais peu de risque d'être addict à la drogue ou à l'alcool pour lequel l'accès était quasi impossible. Et puis l'avantage du porno c'est que non seulement ça ne demande pas d'argent (accès gratuit très simple)  mais c'est aussi une addiction discrète vis à vis de l'entourage. Au pire un petit coup de ccleaner pour vider l'historique internet et ni vu ni connu je t'embrouille....

Bon je vais m'arrêter là pour aujourd'hui car pour tout vous avouer je ne sais pas trop où je veux en venir et sûrement vous non plus d'ailleurs ... A part que ça fait aujourd'hui 2 semaines que j'ai commencé mon sevrage et que l'euphorie de la première semaine a fait place un sentiment de vide. Deux semaines seulement mais que c'est dur ! 






jeudi 12 novembre 2015

Une petite présentation s'impose !





















Bon voilà je m'appel lexaddict  et je suis dépendant au porno depuis plusieurs années. Pour être plus précis j'ai 25 ans et je  me considère comme étant accroc à la pornographie depuis l'âge de 17 ans. Ça peut paraître ridicule à certains - et je les comprends - mais oui la dépendance au porno ça existe.

Pour quelles raisons je suis devenu dépendant ? J'en parlerai  précisément  dans un prochain article mais il est évident que derrière tout dépendance se cache une faiblesse psychologique , un élément de vie déclencheur !

Le but de ce blog est de raconter mon évolution , de vous expliquer en détail la manière dont je lutte contre cette addiction. Mais ce sera aussi un moyen pour moi de vous délivrer certaines de mes pensées et humeurs du moment.

Pourquoi j'ai choisi le pseudo "lexaddict" ? Car c'est un petit jeu de mots entre "le x addict" que je suis encore actuellement et 'l'ex addict"  que j'espère devenir ! Alors oui quoi qu'il arrive je ne pourrai jamais vraiment me considérer comme un ex addict dans la mesure où on ne peut jamais vraiment guérir d'une addiction mais je vais tout faire pour m'en approcher et stopper cette relation que j'ai avec la pornographie.

J'espère que vous serez nombreux à me suivre (pas addict non plus !) et à venir commenter mes articles.